Lisbonne, c’est la ville idéale pour un tournage. La capitale portugaise a en effet tout pour plaire aux productions de cinéma. Un ensoleillement parmi les meilleurs d’Europe (260 jours de soleil par an), une luminosité accentuée par les murs blancs ou ornés d’azulejos d’une part, et la calçada (chaussée portugaise) d’autre part, ou encore la proximité avec des espaces naturels exceptionnels.
Avec sa lumière toute particulière, son identité forte, Lisbonne est donc une ville rêvée pour tous les réalisateurs de films. De plus, la nature incroyable qui entoure Lisbonne est un argument supplémentaire pour la réalisation des plus grands films. Cyril Collard ne s’y était pas trompé en utilisant le Cabo Espichel, au sud de Lisbonne, comme décor à son film Les Nuits Fauves de 1992.
Le fixeur (ou fixer), c’est le lien entre la production et le lieu de tournage. Que ce soit pour faciliter la vie sur place, faire le lien avec les habitants et les autorités locales ou trouver le bon endroit où tourner, le fixeur est l’intermédiaire indispensable !
L’aide d’un fixeur est primordiale à Lisbonne. Pour les démarches administratives, où la barrière de la langue peut être un obstacle, pour réaliser des castings de figurants ou pour partager les bonnes adresses, le fixeur est là pour simplifier la vie de l’équipe de tournage à Lisbonne.
Avec une connaissance parfaite de la ville, votre fixeur MonLisbonne pourra vous montrer ce que vous cherchez exactement comme lieu, vous racontera Lisbonne comme vous ne l’aurez jamais entendu et la ville n’aura (presque) plus de secrets pour vous.
Sur place, les contacts que MonLisbonne a tissés permettent de mener à bien les démarches administratives, nécessaires à la production du film.
MonLisbonne a une grande expérience dans l’organisation d’évènements d’entreprises (séminaires, team building…)
Enfin, votre fixer MonLisbonne connaît toutes les petites adresses qui rendront votre séjour encore plus agréable. Des hôtels aux restaurants, vous serez comblé !
Commençons par un grand classique, le sixième opus de la saga James Bond, l’agent 007 ! En 1968, le Palácio Estoril est envahi par toute l’équipe de tournage de ce chef-d’œuvre qui voit Diana Rigg partager l’affiche avec George Lazenby.
Ce magnifique hôtel à Estoril devient alors le décor de nombreuses scènes du film. On peut en effet y voir le hall, la piscine, les chambres du Palácio. Aujourd’hui, rien n’a changé, ou presque. Même le garçon, d’à l’époque 18 ans, qui donne les clefs continue à travailler dans le Palácio !
Dans 007, au service de sa majesté, on peut également voir des scènes tournées à Cascais, au tout début du film, ou à la plage de Guincho, où James Bond sauve Teresa di Vicenzo de la noyade. Une autre des nombreuses plages entourant Lisbonne, le pont du 25 avril et enfin la serra da Arrábida où l’histoire tourne au drame…
Le choix d’Estoril et la région de Lisbonne pour tourner 007, au service de sa majesté, n’est pas anodin. En effet, Ian Fleming imagine le personnage de James Bond en s’inspirant des nombreux espions de toutes nationalités présents à Cascais et Estoril pendant la seconde guerre mondiale, le Portugal étant non-aligné. Le premier livre de Ian Fleming, Casino Royal, est une allusion directe au casino d’Estoril.
C’est un très beau film que nous offre Billie August. Adapté d’un roman de Pascale Mercier, un train de nuit pour Lisbonne met en scène un professeur suisse de latin, Raimund Gregorius, qui sauve une Portugaise du suicide. Celle-ci part sans rien laisser, seulement un livre d’Amadeu de Prado, un poète Portugais. Intrigué par le personnage, Raimund décide de tout quitter pour partir sur ces traces, à Lisbonne.
A travers la vie d’Amadeu de Prado, Raimund cherche un sens à la sienne, et plonge au cœur de l’histoire du Portugal…
Dans ce film germano-portugais, Lisbonne est décor et sujet. Wim Wenders, le réalisateur, met en scène un réalisateur, Friedrich Monroe, qui manque d’inspiration. Il appelle son ami Philip Winter, ingénieur du son, au secours. Mais quand ce dernier arrive, Monroe n’est plus là. Il n’a laissé que des images, sans son.
Winter part à la recherche de son ami, dans les rues de Lisbonne, en décidant de mettre du son sur les images de Monroe.
Wim Wenders réalise avec Lisbon Story une belle carte postale de Lisbonne dans les années 90. La bande son est réalisée par le groupe de musique Madredeus, originaire de l’Alfama. Ce film est à voir absolument pour tous les amoureux de la ville blanche !
Ce film culte de 1992 retrace l’histoire de son réalisateur, Cyril Collard. Dans le film, Cyril Collard s’appelle Jean. Bissexuel, il découvre qu’il est atteint du Sida. Alors qu’il vivait une relation avec Samy, il tombe amoureux de Laura, jouée par Romane Bohringer. Petit à petit, Jean sent que le virus le ronge, il n’ose pas tout de suite le dire à Laura, continuant à avoir des rapports avec elle. Le film repose sur l’acceptation de la maladie par Jean et par ses proches. A la fin du film, on voit Jean traversant le pont du 25 avril pour rejoindre le Cabo Espichel. Là, Jean téléphone et dit “je suis tout au bout de l’Europe”.
On peut constater un faux-raccord : ceux qui connaissent Lisbonne, peuvent voir que la voiture dans la première photo ci-dessous tourne le dos au fameux cap sur le pont, elle va donc donc dans le sens inverse !
L’homme de Lisbonne, c’est l’histoire d’Aristides Mavros, un trafiquant en tout genre, installé à Lisbonne. Il y mène une vie de pacha, bien entouré… Il rencontre Sylvia Merrill qui cherche à libérer son mari, un millionnaire américain, coincé depuis deux ans derrière le rideau de fer. Contre écus sonnants et trébuchants, il accepte de l’aider. Il est secondé par le capitaine Evans, un autre trafiquant américain. Le tout se fait sous l’œil suspicieux du policier Fonseca, chargé de surveiller les lascars…
C’est à Lisbonne et dans une petite ville autour de Lisbonne qu’à été tournée l’adaptation au cinéma de Benoît Brisefer, les taxis rouges. Pourtant, rien dans le film ne fait allusion au Portugal ! Mais la lumière et la typicité des bâtiments ont poussé les réalisateurs du film et les fixeurs à transformer, le temps du tournage, Lisbonne et alentours en Vivejoie-la-Grande, petite ville française tout droit sortie de l’imagination de Peyo.
Ainsi, en septembre 2013, on pouvait croiser à Lisbonne Jean Reno, Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte qui partageaient l’affiche avec Léopold Huet, qui jouait Benoît Brisefer, à seulement 9 ans.
Pour finir, ce film suisse des années 80, dans la ville blanche, met en scène Paul, joué par Bruno Ganz, un marin en escale à Lisbonne qui tombe amoureux de Teresa, jouée par Teresa Madruga. Malgré cette relation, Paul continue à écrire à sa femme, restée en Suisse.
Le film retrace les errances de Paul, à travers les ruelles de Lisbonne et est un bon moyen pour découvrir le Lisbonne des années 80.
De nombreux autres films ont été tournés à Lisbonne, même si l’histoire ne s’y est pas forcément déroulée. Parmi eux on peut citer Casanova Variations, sorti en 2014, La Promesse, sorti en 2016, et même des productions plus lointaines comme The Great Gambler, du cinéma indien ou Just A Stranger, des Philippines.
Plus récemment, Blanche Gardin et Laurent Lafitte sont actuellement à Lisbonne pour le tournage de Tout le monde aime Jeanne. A rajouter sur la liste prochainement !
Et pour les férus du 7ème art, MonLisbonne peut vous proposer une visite sur-mesure basée sur vos films préférés tournés à Lisbonne !
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